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 Sujet du message: Husky sous un autre horizon...
MessagePosté: Lun 21 Nov 2005, 13:30 
Bonne lecture les gars

09 juillet 1943, 04h30. Lentement le Kommodor Yoyo émerge de sa torpeur nocturne. Assis sur le bord de son lit, par la fenêtre du premier étage du petit hôtel El Camino de Raguse, il admire un instant le soleil levant dont les rayons commencent d'embraser l'horizon. Devant son bureau, il aperçoit sa paire de bottes fourrées, les mêmes depuis maintenant trois ans qu'il est entré dans la Luftwaffe. Sur le dossier de sa chaise, sa veste en cuir noir. Les parements dorés sont délavés et le cuir s'est éclairci aux jointures, seuls ses nouveaux galons de Major brillent sur ses épaules. A leur vue, il sourit gentiment.
-Arf quelle dérision, je les échangerais bien contre quelques pilotes de chasse et un ou deux de ces Me 109G6 avec nouveaux moteurs...
Il y a encore une année son uniforme resplendissait lorsqu'il s'était rendu au Reichstag pour recevoir sa nouvelle affectation à la tête de la I/JG27, la fameuse escadrille où la légende Jochen Marseille avait sévi. Aujourd'hui que restait-il de ce passé glorieux. Des 109G2 ou G6 usés jusqu'à la corde et quelques FW190 que le front de l'Est leur avait bien laissé. Alors que depuis l'autre côté de la Méditerranée les Anglais et les Américains intensifiaient leurs attaques sur la Sicile, les renforts arrivaient au compte goutte. Il y avait bien les Italiens, mais entre ce qu'ils étaient censés aligné et ce qu'ils alignaient réellement, il y avait un monde et sans parler de leur efficacité limitée. A l'origine, la I/JG27 avait pour mission, la couverture des bombardiers attaquant Malte mais ces diables d'Anglais tenaient bons. La Luftwaffe et la Regia Aeronotica s'étaient cassées les dents sur le tas de cailloux maltais et gozon. Depuis le printemps 1943 et l'arrivée massive des américains sur le front, les rôles s'étaient inversés. Ils passaient maintenant leur temps à intercepter les raids passant par le sud de l'Italie. Quelque chose se préparait, il le savait et il n'avait pas les moyens de défendre la Sicile, tout au plus une centaine de chasseur répartis à droite et à gauche.
Alors qu'il était en pleine réflexion, le Kommodor Yoyo se surpris attachant sa croix de chevalier autour de son cou. Il se ravisa et la rangea soigneusement dans une petite caissette sur son bureau.
Après s'être rapidement lavé, il descendit dans la salle à manger où l'attendait son second le Kapitan Benj. Les yeux bouffis, ce dernier n'avait pas bien dormi non plus et sirotait rêveur son café devant une tartine qui attendait d'être mangée.
- Alors Yoyo... tu as encore eux des nouvelles hier soir? Du nouveau pour les renforts?
- Négatif, toujours pas de réponse, commence de sérieusement m'énerver au RLM. Ils ne se rendent pas compte qu'on va bientôt avoir les commandos anglais et les Gi's sur le dos ici.
Le Kommodor bu son café d'un coup sec en grimaçant.
- Allez, on y va, les gars doivent déjà être prêts.
S'adressant à l'intendant:
- Sergent Krauss! Nous partons!
- Jawohl Herr Major! La voiture est prête.
Ils grimpèrent dans la Kubelwagen qui traversa les rues encore endormies de Raguse. Les deux pilotes admiraient comme chaque jour, la ville sicilienne pittoresque en terrasse au mélange d'architecture romaine et renaissance dont les maisons blanches et ocres resplendissaient dans le soleil qui montrait maintenant le haut de son disque incandescent illuminant toute la plaine s'étendant au pied de la citée. Un vent encore frais et entrecoupé du parfum émanant des milliers de fleurs des jardins d'une incroyable richesse florale, balayait le visage des deux officiers. Benj murmura:
- Belle journée pour mourir...
Bientôt la voiture s'arrêta devant les cabanons où étaient logés le personnel de la base. Devant la cantine, attendant leurs chefs, les pilotes palabraient doucement appuyés contre quelques tonneaux d'huile vide ou en fumant une cigarette. Leur arrivée marqua un terme à leur discussion. Au loin, les mécaniciens dégageaient les Bf109 de leurs filets de camouflage. Certains avec encore le capot moteur ou les trappes d'accès aux armes de bord, ouvertes. D'autres avaient leurs réservoirs reliés à un long flexible noir qui lui-même était raccordé à un tonneau et un pompe actionnée machinalement par un des soldats de l'entretien. Tous les gestes étaient automatique, les hommes parlaient peu, l'Adjudant Ergener responsable de l'équipe technique donnait des ordres brefs et précis. Les sourcils froncés, ils observaient les mécaniciens oeuvrant sur le 4 noir dont le moteur donnait des signes de fatigues inquiétant.
Le Kommodor Yoyo réuni ses hommes dans la salle de rapport.
- Bien Messieurs, aujourd'hui nous allons commencer par une patrouille de surveillance le long de la côte sud-est comme d'habitude. Je prends le Staffel 1. Le capitaine Benj prendra le relais à 09h00 avec le Staffel 2. St-Ex vous prenez le Rote 1 et Slider le n°2 ok. Nous aurons en couverture du secteur ouest, les 190 de la II/JG26. Il n'est pas impossible que nous les croisions, alors ne vous trompez pas ok! Démarrage moteurs à...
Il consulte sa montre...
- ...05h45, allez tous à vos avions.
Lentement et sans un mots, les pilotes désignés pour cette patrouille matinal marchent vers leur appareil. Les mécaniciens les attendent et les aident à s'installer dans le cockpit.
Dans les habitacles, des relents d'huile froide, de cordite et de cuir surchauffé.
le Feldweibel Deray test la lampe de son viseur et bientôt la croix jaune illumine le verre réflecteur. Il check son avion succinctement pendant que les mécaniciens attendent son signal pour enclencher la génératrice et faire tourner le démarreur. Alors qu'à l'autre bout de la piste le G6 de l'impatient Leutnant Jurg Fighter tourne déjà en cahotant, le Fwb Deray observe son tableau de bord. Contact principal allumé, bobine n°1 & 2 enclenchées, circuit de carburant mis en pression. Dans le petit écran, alors que l'aiguille tremblante de la pression monte, il positionne la commande d'entrée d'air en mode "einlasse". Ca y est, 4.5 atü, c'est bon on va pouvoir y aller. D'un geste de l'index tournoyant, il demande le démarrage. Instantanément le DB603 se met en route. Par la verrière ouverte, les gaz d'échappement encadrent de part et d'autre le fuselage, le maculant de quelques traînées d'huile supplémentaires. Le grondement sourd du puissant moteur envahit l'habitacle. En quelques minutes, les températures de roulage sont atteintes. Un oeil sur son leader, l'Oberleutnant Slider, le Fwb Deray attend l'ordre de démarrage. Alors que le premier Rote mené par le Major décolle, les appareils du deuxième rote s'alignent sur la piste. Cinq minutes plus tard, après deux tours de piste, la patrouille est constituée et les 12 109G6 prennent le cap de la mer. Laissant la terre aride et surchauffée en dessous d'eux, bientôt ils atteignent la côte à 5000 mètres. Le Leutnant St-Ex qui a ouvert les clapets d'aération apprécie avec délectation l'air frais qui rafraîchit les parties de son visage non couvertes par son masque à oxygène et ses lunettes de vol. Sous les ailes de son chasseur, défilent les plages paradisiaques aux bords frangés part la Méditerranée d'un vert émeraude dégradant sur un bleu qui au fur à mesure qu'il s'éloigne vers le large, devient plus profond. A chaque fois qu'il assiste à ce spectacle magnifique, le pilote allemand se surprend à rêver de paix et de vacances au cours desquelles il viendrait montrer ce coin de terre magnifique à sa petite famille restée en Bavière.
- Nom de Dieux! Regardez ça... c'est... c'est incroyable!
Malgré le silence radio imposé, il y a de quoi être surpris! L'éclat de voix émane d'un pilote, Yoyo ne sait pas lequel a crié, mais il a tout, sauf envie de l'engueuler, car avec ce qu'il aperçoit au large des côtes, il va y avoir des problèmes plus urgents à régler.
Des centaines de navires font route vers la Sicile et plus inquiétant de nombreuses petites croix brillantes dans le ciel volent à au moins 1000 mètres au-dessus d'eux...
- Merde des P47 américains!
- Ouai et des Spitfire là bas sur notre gauche, même altitude!
Les ordres fusent brefs et concis. Les 109 se mettent en formation de combat...
- Rote n° 2 sur les Spit, les autres avec moi! Hep les copains de la "26", si vous traînez dans le secteur rappliquez rapidement, on a un gros bordel à gérer ici.
- Ca va ici Rama, j't'entends glapir Yoyo, donnes-moi ta position? On arrive!

La suite dans quelques jours...


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MessagePosté: Lun 21 Nov 2005, 15:18 
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Inscription: Sam 04 Déc 2004, 15:19
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A mon avis, vue le début du texte, toi aussi t'as regardé le fracas des ailes sur planete diamanche soir (excellente serie d'ailleurs) :wink:

Quel poete ce harry....

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"Est ce parce que la vitesse de la lumière est supérieure à celle du son,
que tant de gens paraissent brillants avant d'avoir l'air con ?"


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MessagePosté: Lun 21 Nov 2005, 17:58 

Inscription: Mar 28 Déc 2004, 13:50
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arf, ça donne envie d'y aller :pbo

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Dans la vie mon ptit gars il faut avoir des c......s au c.l et tant que possible, tant que possible il faut que ce soit toujours les tiennes!!!
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MessagePosté: Mar 22 Nov 2005, 08:22 
PB0_Mighty-8 a écrit:
A mon avis, vue le début du texte, toi aussi t'as regardé le fracas des ailes sur planete diamanche soir (excellente serie d'ailleurs) :wink:

Quel poete ce harry....


Hihihi :) , mon inspiration je la puise surtout dans FB... et dans les combats épiques qui nous opposent! 8)


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MessagePosté: Mar 22 Nov 2005, 10:33 

Inscription: Mar 13 Juil 2004, 22:04
Messages: 1319
Intrépide, Intrépide le leutnant fighter !!! :evil: :lol: :lol:
:wink: :picolle


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MessagePosté: Sam 26 Nov 2005, 06:32 
... lancé à pleine vitesse inscrit dans un virage serré pour s'aligner sur les Spitfire, le 109 se mit à vibrer. Le souffle court, les sourcils froncés derrière les lunettes, le Fbw luttait pour éviter le voile noir. Il suivait du mieux qu'il pouvait son leader, l'Oberleutnant Slider qui lui semblait insensible. Le jeune sous-officier eu le temps de remarquer qu'ils avaient à faire à des Spitfire aux ailes tronquées. Il se remémora les prescriptions propres à l'engagement avec ce type d'appareils et répétées inlassablement par ses chefs.
- Ne pas descendre en dessous de 3000 mètres et surtout ne pas tourner...
- Des.. des bimoteurs! On a des bimoteurs avec nous!
L'éclat de voix avait résonné brutalement dans les écouteurs.
Le front perlant de sueur, Yoyo pensa.
- Nom de Dieu! Des P38, si on se fait coiffer par des P38, on est foutu!
Il chercha vainement dans le ciel le tant redouté chasseur américain. Mais il ne voyait que des dizaines de points noirs tournant dans tous les sens. Certains traînaient derrière eux un panache de fumée blanche ou noire. La DCA ennemie était rentrée dans la danse, les traçantes zébraient le ciel dans tous les sens!
- Benj! Essayes de monter avec ton groupe, nous on reste à 4000...
- J'aimerais bien Yoyo, mais c'est impossible, ont est engagé par des P40M
De leur côté Slider et Deray continuaient à virer large plein pot, veillant à garder une vitesse au-dessus de 400 km/h. De temps à autre une traçante rouge ou blanche passait à proximité de l'un ou l'autre et s'éloignait dans l'azur comme une luciole énervée.
Soudainement, le Fbw Deray aperçu un bimoteur volant bas au-dessus de la plage. Il fut stupéfait de constater qu'il s'agissait de Bf110. Courageux les Zerstorer participaient au combat, mais sans protection, ils étaient des proies faciles.
- Les bimoteurs se sont des Bf110... j'en vois au moins trois qui attaque des barges de débarquement...
Il n'avait pas finit sa phrase, qu'il aperçut la silhouette inquiétante d'un Spitfire au travers d'un nuage!
- Bleu deux à Bleu un! Il y a des Spit qui s'en prennent aux 110!
La voix calme de Slider lui répondit.
- Ok groupe bleu on y va. Ne descendez pas en dessous de 400, ne tournez pas avec les Spit et ça ira.
Les 8 109 basculèrent sur l'aile et filèrent à plein pot vers la côte. Le Fbw Deray eu la désagréable surprise d'apercevoir un chasseur anglais s'en prendre à un des bimoteurs dont un moteur crachait déjà de la fumée noire alors que des flammes sortant des ouïes d'aération commençaient de lécher le capot.
Sans plus attendre, le jeune pilote allemand s'aligna sur l'avion britannique. Sa vitesse était très élevée et il rattrapa, très vite le Spitfire. Le pilote ennemi le repéra, passa sur le dos avant de plonger vers le sol. Deray jura entre ses dents serrées. Alors que le Zerstorer filait vers l'intérieur des terres, il profita de sa vitesse pour remonter. a 2000 mètres alors qu'il ne semblait pas repéré, il chercha du regard le Spitfire.
- Le voilà!
En effet, l'appareil britannique en maraude était de nouveau en dessous de lui. L'Oberleutnant Slider l'appela!
- Deray vous êtes où, rejoignez la formation! J'ai besoin de votre aide!
Le sous-officier hésita un moment, le Spitfire était là, juste en dessous de lui. Il virait dans un grand virage ascendant sur la droite. La tentation était trop grande. Il bascula son 109 sur l'aile et piqua, sa ressource le ramena dans l'axe du Spit, il arriva par en dessous, le pilote ennemi ne pouvait pas le voir cette fois. Il visa juste devant le nez de l'Anglais. le canon de 20 mm monté dans l'axe de l'hélice s'illumina 2 secondes. Deray fut presque surpris... Le pilote ennemi surpris tenta une manœuvre échappatoire, mais ce fut trop tard. L'aile gauche se sépara du fuselage et le chasseur ennemi se mit à tournoyer comme une feuille morte vers le sol. Quelques secondes plus tard une corolle blanche se mit à descendre vers le sol Il exulta!
- J'en ai eu un, j'ai eu un Spitfire!
Mais dans la confusion personne ne répondit.
- Bleu Un vous m'entendez?
Mais l'Oberleutnant Slider restait muet. Le jeune pilote allemand commença d'avoir des remords. Il avait lâché son leader alors que celui-ci était en difficulté.
Absorbé par ses pensées, il ne vit pas le Spitfire qui se positionnait derrière lui. Probablement l'ailier de celui qu'il avait descendu quelques minutes auparavant.
Des traçantes rouges encadrèrent son appareil. Instantanément, il exécuta une manœuvre échappatoire par la gauche, emporté par sa vitesse le Spit l'overshoota. Ensuite tout se passa très vite. Le Fbw Deray rétabli son Messerschmitt et comme dans un rêve le Spit apparu dans son collimateur à moins de 100 mètres. Instinctivement, il avait tiré de toutes ses armes. Il eut l'impression que le chasseur anglais s'était arrêté dans le ciel, puis, doucement, il piqua gentiment vers la mer en traînant derrière lui un long panache de fumée noire. Quelques secondes plus il s'abîma en mer dans une grande gerbe d'eau.. Deux avions ennemis en une sortie quel exploit! Si au moins son leader pouvait lui répondre. Mais ses appels restaient sans réponse.
Tournant la tête dans tous les sens, le visage trempé de sueur il se mit à remonter. Lorsqu'il déboucha de la couche nuageuse, les combats faisaient rage. Il y a avait de tout, des Spitfire ailes tronquées, des avec les ailes normales, des P40 et puis plus haut apparurent la sinistre silhouette des fameux DoppelGabelschwanz, le P38!
Il y a avait aussi des FW190 qui étaient entrés dans la danse. Le Kommodore Yoyo, donna l'ordre de rompre le combat. Instinctivement, le Fbw Deray regarda sa jauge de carburant. Il lui restait 20 minutes maximums d'autonomie. Il était temps de rentrer. Mais bientôt une nouvelle silhouette peu familière apparue sur sa gauche. Un P40! Le chasseur américain semblait ne pas l'avoir vu et il eut l'impression qu'il était perdu. La tentation était trop grande. Insidieusement, il se glissa dans la queue du Curtiss et à 100 mètres il tira de toutes ses armes, il vit des impacts crépiter sur tout le fuselage et les ailes, de la fumée grise puis noir lécha les flancs de l'avion l'hélice s'immobilisa. La verrière s'ouvrit et le pilote ennemi s'éjecta...
Trois victoires, la Croix de fer en une sortie...

Pourtant quelle dérision dans cette situation... un goutte d'eau dans l'océan, ils en abattaient dix, ils en revenaient 100...


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MessagePosté: Sam 26 Nov 2005, 11:55 
Très sympa à lire en tout cas !! Harry tu as un véritable talent. Jamais pensé à faire un roman fiction (live in FB) ?

Tu prends le déroulement d'une campagne comme tu le fais là, tu campes les personnages et roule...;)

@+


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MessagePosté: Sam 26 Nov 2005, 16:43 
C'est ça Yoyo! Vous pouvez fêter Deray, il a effectivement abattu deux Spit (l'un des deux c'était moi qui l'ai overshooté comme un con :lol: ) et un P40M lors de la dernière Husky.

:partyman:


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MessagePosté: Sam 26 Nov 2005, 17:00 

Inscription: Mer 21 Sep 2005, 11:24
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yep :drinkers:
mais je croyais que c'etais moi et st EX mon ailier

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L'hélice devant l'avion est un gros ventilateur conçu pour
garder le pilote au frais. Lorsqu'il s'arrête, vous commencerez à
avoir chaud


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MessagePosté: Sam 26 Nov 2005, 17:12 
Vi vi moi j'etais pas dans le coup.... peut pas etre partout hein !! :lol:


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MessagePosté: Dim 27 Nov 2005, 05:44 
Arf je peux faire beaucoup mais deviner qui était ton ailier juste avec le coop.txt, c'était difficile quand même :lol:


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MessagePosté: Dim 27 Nov 2005, 19:21 

Inscription: Mar 28 Déc 2004, 13:50
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ouiap, d'ailleur c'est moi qui peint ses victoires sur le cockpit :pbomodif

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MessagePosté: Dim 27 Nov 2005, 20:01 

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il est bon cet aillier avec moi je crois que je vais le garder :pbo

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MessagePosté: Mer 30 Nov 2005, 19:15 
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Inscription: Ven 23 Sep 2005, 19:10
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Ouaip bien sympa ce texte, .. :wink:

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