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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Mer 26 Mar 2014, 18:48 
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Notre repos Australien fut, comme le précédent, une orgie de sexe et d'alcool continuelle. Pappy eut l'occasion de resserrer des liens déjà forts avec le général Moore lors d'une soirée au Club, ce qui servit durant le retour vers la zone d'opérations. En effet le Colonel Lard avait toujours sa dent contre Gramps, et s'est acharné à mordre lors de notre passage à Esperitu Santu, manquant même de retirer Pappy aux Blacksheep !

Pappy en a appelé à "nuts" Moore, et celui-ci a fait fort pour nous remonter le moral. premièrement il a annoncé à Lard qu'il était hors de question de changer l'affectation de Pappy, et deuxièmement il l'a nommé, afin d'être "au plus près des pilotes, comme il aimait tant l'être" officier d'opérations sur un des terrains nouvellement construits sur Bougainville, loin de toute possibilité de nuire aux Blacksheeps, et également loin de tout le confort d' Esperitu auquel il était plus qu'habitué !

C'est donc tout regonflés que nous repartimes au combat, et avec Bougainville neutralisée, nous nous tournâmes vers la forteresse Japonaise du Pacifique, Rabaul.

Les opérations seraient effectuées avec étape, départ à l'aube de Vella la Vella vers Nissan Island, à un peu plus de 200km de Rabaul. De là après ravitaillement nous mènerions les opérations jusqu'à 15h, puis retour vers Bougainville à la nuit tombante.


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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Mer 26 Mar 2014, 20:25 
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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Mer 26 Mar 2014, 21:30 
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partant :)

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Jeu 27 Mar 2014, 09:24 

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Jeu 27 Mar 2014, 14:37 
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Partant mais je dois encore installer le gros mod de l autre post.

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Jeu 03 Avr 2014, 22:48 
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17 Décembre 1943. A la suite de la petite discussion entre Pappy et le Gal Moore lors de notre R&R à Sidney, une mission d'intoxication a finalement été lancée. Nous avons décollé à la première lueur de Vella, puis après escale à Torokina et finalement Nissan Island, nous voici près à lancer une opération de grande envergure, avec les pleins faits pour rester sur zone bien plus longtemps. Les P40 néozélandais du Wing Commander Freeman ont décollés les premiers, et pris le cap de Rabaul. Ils volent à 15000ft en formation, comme s'ils étaient des bombardiers. Nous décollons les derniers, et avec la VMF223 de Marion Carl et un squadron de Hellcat nous volerons à 25000ft, comme si nous étions une escorte haute. Si les japs mordent à l'hameçon, les P-40 de Freeman les occuperont largement assez longtemps pour que nous leur tombions dessus, et alors gare à eux !


Roulez à gauche jusqu'au point de décollage. Décollez au plus vite et restez au contact de la VMF223 qui survolera le terrain d'ici 30 secondes.

Durant votre opération les coast watchers seront alertés et allumeront des feux humides pour créer des nuages de fumée grise s'ils entendent un bruit de moteur. Si vous sautez ou vous vachez à proximité vous avez de bonne chance d'être secourus. Vous les trouverez en Nouvelle Irlande dans le lit de la rivière Kamdaru en BK26, ou plus au Nord sur les plages en BH30, BI29 BJ30 et BT25.

Par ailleurs des sous-marins attendent en surface l'occasion de vous tirer d'un mauvais pas. Vous les trouverez en BN21, B19 et BD30. Enfin, à l'Est de BP vous pouvez vous considérer facilement récupérable par les secours.

La zone de Rabaul est littéralement infestée de DCA, elle est modérément dangereuse en haute altitude, pour peu que vous ne lésigniez pas sur les altérations d'altitude et de cap, mais à basse altitude elle est mortelle, ne survolez ni les terrains ni le port en dessous de 4000m.

Rappel des paramètres optimaux du Corsair:

Consos:

puissance militaire (maxi continu): 275USG/h
rated power (puissance réduite pour vol
montée):200USG/h
croisière rapide: 100USG/h affichage
32pouces, 2350rpm
croisière éco (recommandé) 80USG/h,
29pouces, 2150rpm
conso mini: 45USG/h 2,9pouces, 1350rpm
(si vraiment y'a plus une goutte)

utilisation volets
-sur piste, déco sans volets, atterrissage en
volets déco (ne pas atterrir à mi piste ou on
sort au bout), on garde un tout petit peu de
gaz jusqu'au toucher

-sortie des flaps autorisée <175Kts (190mph)
-décrochage vitesse mini avec gaz et volets
atterro=85kts (90mph)

Autres limitations:
cockpit ouvert--->max 300KTs (330mph)
RPM maxi--->3600 pendant 30 secondes
( à surveiller en descente, ou si le régulateur
est touché)
Take Off power---->max 5 min
oil temp--->max 95°
CHT max---->260°

Utilisation moteur/hélice en montée:

du sol à 8000ft: 43,5" 125/125Kts et 2550RPM
8000/13500: 47,5", surpresseur 2 et 2700RPM
13500 et +:48", surpresseur 3 2700RPM

Code de la balise YG: DWRKANUGMLFS

Bonne chasse !



Malgré une mise en route et un décollage rapides, nous devons cavaler pour suivre le rythme de Pappy et de la VMF223 jusqu'à Rabaul. Nous passons à peine la nouvelle Irlande que les P40 annoncent des bandits, ils combattent ardemment mais le Wing Commander Freeman se fait toucher et son moteur le lache alors qu'il approche la Nouvelle Irlande. Ses ailiers le voient se poser mais personne ne sort de l'avion, et pas de nouvelles depuis, on craint le pire. Une fois l'armada US dans la caldera de Rabaul, le combat change de dimensions, c'est une nuée d'ailes bleues et d'ailes vertes, d'ailes blanches et de panaches de flammes et fumées, de traçantes rouges et de traçantes jaunes. Pappay est très agressif et son ailier M8 le suit dans la mêlée, on le perd de vue rapidement mais un pilote de la VMF223 nous dira avoir vu un corsair être percuté par un zéro... Vic pique lui aussi dans la mêlée, à la ressource son ailier Foxy voit ue aile de son corsair se détacher ! Sam puis Foxy coincent un zéro et se partagent la victoire. Pour ma part je suis suivi comme mon ombre par Balto, je m'efforce de ne pas nous mettre en danger en conservant l'énergie, et manque plusieurs passes à haute vitesse sur des zéros qui virent serré. Je finis par placer une rafale, mais les quelques coups au but ne font pas tomber le zéro et je suis déjà loin avant qu'il ait une chance de se retourner contre moi. Balto a tenté lui aussi un tir mais rejoint presqu' aussitôt mon aile. Retour sans histoires à l'aide de la balise YG, il semble malheureusement qu'un manque de coordination avec les néozélandais à l'atterrissage ait causé des pertes à la 223, pour ma part je manque de me faire surprendre par la réaction de mes amortisseurs, et je ne suis pas le seul.

Bilan pour la 214 une victoire pour deux pertes, on s'est un peu rouillés en Australie.

Un grand bonheur d'avoir 10 pilotes en même temps, ce n'était pas arrivé depuis un bail chez les :pbomodif PB0 !

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Ven 04 Avr 2014, 09:02 

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oui, c'était super de se retrouver aussi nombreux :pbomodif
en ce qui me concerne j'ai pas gaspillé une seule cartouche, juste essuyé quelques tirs de flak, mais c'était une belle balade :wink:

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Ven 04 Avr 2014, 10:11 
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Inscription: Sam 04 Déc 2004, 15:19
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J'ai bien apprécié ce retour sur IL2 malgré un comportement étrange de mes commandes qui se sont mises à fonctionner "à peu près" - au moins pour la gestion des vues - après le milieu de mission (pas compris ce qui s'est passé...).

J'aurai pu rentrer avec 1.5 zero au compteur si le second d'après ce que j'ai pu en déduire ne m'avait explosé sous le poste de pilotage.
Si le premier qui venait d'être touché par Hellcat est bien parti en flammes après une bonne rafale de .50, les dernières images que j'ai vu sont que mes tirs touchaient un zero à bouts d'ailes raccourcis tout de blanc vêtu et qu'il a pris feux au moment de disparaitre sous mon capot moteur.

Je ne sais donc pas s'il a volontairement percuté mon avion par en dessous ou s'il a explosé sous mon poste de pilotage. Mon Corsair est juste parti en vrille incontrôlable comme si j'avais perdu l'arrière de mon fuselage. Pas eu le temps de sauter car l'attaque s'est faite à basse altitude.

En tout cas c'était génial de se retrouver à nouveau à une dizaine de PB0 .
J'ai passé une bonne soirée, même si elle a été un peu écourtée :pbomodif

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Lun 07 Avr 2014, 11:23 
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Messages: 934
En fait Mighty tu as été victime du faiseur de veuves (enfin je crois) :

tu tires le zero, il prend feu, et tout de suite tu break avec le nez levé pour éviter le zero.
tu demarres un virage toujours le nez levé pendant que le zero file vers sol et rapidement
on voit les aigrettes au bout de tes ailes puis le depart en vrille,
longtemps avant que le zero ne se crash au sol sans exploser en l air.


Vu que c est mon track on ne peut pas se baser dessus pour juger des distances précises entre le zero et ton corsair (les tracks ne sont pas assez precis quand on n'est pas le joueur qu'on veut analyser) mais ton corsair ne perd aucun morceau et le zero non plus et ca c'est pourtant visible sur un track ( par exemple l'aile de Vic je la vois partir quand il prend trop de vitesse).

Donc mon diagnostique est : tu as trop serré ton virage avec le nez levé et tu as fais un snap roll + perte de vitesse.

J'ai fais la meme chose que toi pendant la mission mais à 2500m donc j'ai pu recuperer à temps (et coup de bol retrouver Roll).

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Jeu 10 Avr 2014, 17:54 
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Inscription: Sam 04 Déc 2004, 15:19
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Merci pour les infos Balto :-)

Bon... changement de programme pour moi ce soir. .. probablement pas dispo.. Sorry :-(

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Jeu 10 Avr 2014, 22:50 
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Pappy fait la gueule.

Notre 1er sweep a rapporté peu de succès aux Blacksheep, et lui même sait qu'il lui reste assez peu de temps s'il veut avoir une chance de battre le record de Rickenbacker. C'est son dernier tour au combat et il lui reste moins d' un mois pour obtenir 6 victoires, pour une fois qu'on croise des japs ils sont tous descendus avant qu'il n'en ait un dans son viseur ! L'opération de ce jour va se dérouler d'une façon particulière, avec un sweep post strike destiné à cueillir les zéros en situation défavorable, quand ils auront bien entamé munitions et carburant à la poursuite de nos bombardiers et de leur escorte. Marion Carl conduira ce sweep avec la VMF223 à 15000 ft, Greg et les Blacksheeps couvriront à 18000ft. Les B-24 seront escortés par d'autres Blacksheeps emmenés par Pierre Carnagey et des Hellcats des VF33 et VF40. L'USAAF enverra également un groupe de P38 à haute altitude pour couvrir le sweep.

Roulez à gauche jusqu'au point de décollage,attention au vent fort de nord-ouest; prise de cap immédiate et montée à 18000ft. La VMF223 nous survolera dans une minute, ils continuent un peu dans l'axe avant de virer pour éviter les confusions et stopperont leur montée à 15000ft. On a prévenu Pappy qu'il avait mis un peu trop la gomme lors du dernier sweep et il devrait nous laisser un peu plus de marge cette fois-ci...s'il ne fait pas sa tête de mule. Une fois au contact c'est chasse libre par divisions de 4, on descend le plus de japs possible et on rentre.

Durant votre opération les coast watchers seront alertés et allumeront des feux humides pour créer des nuages de fumée grise s'ils entendent un bruit de moteur. Si vous sautez ou vous vachez à proximité vous avez de bonne chance d'être secourus. Vous les trouverez en Nouvelle Irlande dans le lit de la rivière Kamdaru en BK26, ou plus au Nord sur les plages en BH30, BI29 BJ30 et BT25.

Par ailleurs des sous-marins attendent en surface l'occasion de vous tirer d'un mauvais pas. Vous les trouverez en BN21, B19 et BD30. Enfin, à l'Est de BP vous pouvez vous considérer facilement récupérable par les secours.

La zone de Rabaul est littéralement infestée de DCA, elle est modérément dangereuse en haute altitude, pour peu que vous ne lésigniez pas sur les altérations d'altitude et de cap, mais à basse altitude elle est mortelle, ne survolez ni les terrains ni le port en dessous de 4000m.

Rappel des paramètres optimaux du Corsair:

Consos:

puissance militaire (maxi continu): 275USG/h
rated power (puissance réduite pour vol
montée):200USG/h
croisière rapide: 100USG/h affichage
32pouces, 2350rpm
croisière éco (recommandé) 80USG/h,
29pouces, 2150rpm
conso mini: 45USG/h 29pouces, 1350rpm
(si vraiment y'a plus une goutte)

utilisation volets
-sur piste, déco sans volets, atterrissage en
volets déco (ne pas atterrir à mi piste ou on
sort au bout), on garde un tout petit peu de
gaz jusqu'au toucher

-sur porte avion, déco en volets déco,
atterro en volets atterro , on réduit dès que
le pont est assuré
-sortie des flaps autorisée <175Kts (190mph)
-décrochage vitesse mini avec gaz et volets
atterro=85kts (90mph)

Autres limitations:
cockpit ouvert--->max 300KTs (330mph)
RPM maxi--->3600 pendant 30 secondes
( à surveiller en descente, ou si le régulateur
est touché)
Take Off power---->max 5 min
oil temp--->max 95°
CHT max---->260°

Utilisation moteur/hélice en montée:

du sol à 8000ft: 43,5" 125Kts et 2550RPM
8000/13500: 47,5", surpresseur 2 et 2700RPM
13500 et +:48", surpresseur 3 2700RPM

Code de la balise YG: DWRKANUGMLFS


Je suis n°2 derrière JJ, décollage nettement plus opérationnel cette fois. La VMF223 est rattrapée sur les côtes de Nouvelle Irlande, ensuite navigation de concert, il nous manque déjà deux pilotes égarés mais nous les retrouvons sur le canal St Georges. L
es bombardiers sont sérieusement engagés et nous arrivons à point.
JJ manque de tirer sur un B-24 qu'il a pris pour un...... Tony, mais je le préviens à temps et on remonte.
Je trouve un zéro et guide JJ sur lui, un Rufe s'en mêle mais en quelques miinutes les deux sont au tapis.

Pendant ce temps des appels au secours nous parviennent depuis "la pointe de l'île", sachant qu'il n'y a que des îles dans le coin et qu'ellles ont toutes une pointe au minimum, nous sommes lents à déterminer la provenance et Vic, St EX et Cow se font descendre un par un.

Nous arrivons juste à temps pour aider Fighter mais l'ennemi est présent en nombre et nous choisissons une tactique prudente à base d'extension et réengagement, ce qui paye puisque trois zeke supplémentaires sont mis au tapis.

Regroupement à 3 puis 4 puis 5 pour une longue ballade sur l'ensemble de la baie, nous avons un temps une couverture de Lightnings, et les japs n'osent plus décoller et se contentent de nous tirer au gros calibre, plutôt précisément malgré nos 18000 puis 20000 pieds.

Retour sans encombre puis c'est le drame, Sam en roulant au parking explose sur un Booby Trap laissé par les japs dans un bouquet d'arbres !

Fighter plie son hélice au freinage mais sans plus de dommages.

Je revendique deux zéros et suis témoin de deux victoires de JJ.

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Ven 11 Avr 2014, 04:45 

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Quand c'est l'heure d'engager et bien c'est l'heure d'engager... Tidji J et Roll basculent sur l'aile gauche et entrent dans la danse.
Oui le Jap aime danser, sauf que la c'est une forme de danse aérienne de l’éventail qui peut rapidement devenir fatale et nous en avons la démonstration...
http://www.youtube.com/watch?v=GmLLtRKzZkE

St-Ex est a ce moment dans mon aile et nous essayons de suivre notre leader et 2 du regard en restant au dessus en couverture en virage a gauche. Ils serrent et nous passent dessous dans leur descente et nous les perdons de vue aussi vite qu'ils tombent sur les boogeys.

Nous somme au dessus de ce premier mix situé plus au nord de la fameuse "pointe" qui se situe en Bravo 25 et des appareils ennemis défilent en dessous, nous y allons a notre tour, après une passe tir qui frôle un zéro je remonte mais tout seul.
Nous ne nous rassemblons pas avec St Ex est la est notre faute. Il y a des contacts un peu partout et les combats aux abords immédiats s’étirent rapidement sur le plan horizontal et vertical.

St Ex est alors salement engagé et demande de l'aide, il nous indique une position proche de la cote bien plus au sud de la ou nous sommes et a proximité de cette foutue "pointe" qui sera notre repère pour se retrouver.
Cap au sud, pas le temps pour le surpresseur 2, je passe du 3 au 1 direct dans la descente, le Corsair est a ses limites...

Je spot St Ex dans mes 11 h bas avec deux zéros dans ses six. Le bandit le plus proche défouraille comme si il était dans un stand de tir.

Je suis alors quasi perpendiculaire a eux et demande a St Ex de virer en gauche sur l'ile dans le but de le débarrasser du bandit le plus dangereux en arrivant par ses six pour ne pas risquer de rater un tir par le travers. St Ex vire en gauche et j'arrive sur le zero comme une balle en dépassant son ailier, il tente une dernière manœuvre et se disloque sous le feu de mes mitrailleuses.

St Ex annonce qu'il est touché, qu'il doit sauter... Et la c'est le drame.
Encore des traçantes, j'essaye de me replacer pour en finir avec le deuxième zero puis c'est la confusion, j'appuie sur la détente et je vois une verrière se détacher au même moment...
Bordel j'ai tiré sur St Ex !

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Ven 11 Avr 2014, 09:55 
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En arrivant sur Rabaul je suis avec Roll et JJ la tactique est de monter dans les 6 de nos bombers pour deloger des zeros.
J'entend parler de Tony mais je ne vois que un B24 qui fume puis un zero lui aussi fumant.

Je le suis de haut car plusieurs corsairs virevoltent autour de lui.
Enfin je vois des tirs plus bas alors je descend en gardant une bonne vitesse pour ne pas me faire coincer par un Ki61.

Je croise beaucoup de corsairs dans tous les sens, quelques zeros , je passe au dessus de Rabaul ou je vois 4 avion au decollage et beaucoup de flak.

Puis plus personne, j entend parler d une pointe mais bon il y a des pointes partout sur la cote sans compter les pointes de l ile de York alors je ne sais pas où aller, personne ne donne de position donc je m ecarte vers l est de Rabaul en grimpant.

Soudain je vois un contact derriere moi, je vire à gauche et il me suit : c'est suspect alors je passe sur le dos et je plonge en accelerant.
A la sortie du piqué je vois une tres courte rafale trop loin sur ma gauche puis plus rien j'ai du le semer.

Je grimpe vers 12000 pieds doucement puis retourne vers Rabaul et là j'ai l impression d etre un sapin de noel tellement je vois des lumieres autour de moi, ca part de tous les cotés, j'ai au moins un bandit qui me tire, peut etre deux ou trois.
Je pique vers le sol, j accelere mais je sais pas, cette fois ca ne marche pas il est trop pres.
Alors je tente le tout pour le tout et essaie une manoeuvre dont Foss m'avait parlé à Guadalcanal : miser sur le roll rate de mon avion et sur sa robustesse.
Je break court a gauche en descendant un poil puis break court a droite en remontant un poil puis à nouveau un break à gauche : plus de tracantes alors je mets la WEP à fond , 100% pas d helice et ferme le radiateur malgré la surchauffe et fonce au Nord à 20 km de York.
Au bout de 3 minutes j'ai peur pour mon moteur alors je reduit à 2600 tour/min 80% helice et grimpe un peu car devant moi arrivent les montagnes.
Un petit coup de palonnier et je regarde derriere, je ne vois plus personne.
Je survole les montagnes et entame un long virage sur la droite en grimpant doucement , radiateur ouvert grand et à 2400 tours.
Enfin j'arrive à 16 000 au dessus de la riviere de nos coast watchers, je prend un 270 vers York et je croise 2 * 2 P38.
Nous entrons dans un gros banc de nuages et à la sortie du nuage je ne verrai plus que 3 P38.
20 minutes plus tard je croise Sam puis les survivants et nous partons à l est nous poser.

Je me pose 3 minutes apres Sam avec un de mes plus beaux touchés, sans rebonds, Micklin sera content.

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Ven 11 Avr 2014, 11:04 
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RIP----Nous devons escorter des bombardiers pour une mission strike sur Rabaul. Arrivés sur zone notre groupe engage des chasseurs attaquant un groupe de bombardiers sur le retour. Le ciel est ponctué d'appareils volant dans toutes les directions et à tous les niveaux....Je me retrouve seul après une passe retenue sur un appareil non identifié. Au large de rapopo, j'aperçois quatre chasseurs nippons au seuil de piste de rapopo. La dca est violente. J'entends des copains appeler à l'aide, mais sans indications précises je n'arrive pas à les localiser et je me sens assez seul pour penser que les deux contacts qui sont en dessous de moi ne ressemblent pas à des yankees... je m'écarte en montant. Puis je vois que la DCA rapopo s'active de plus belle. Je distingue des corsair straffant les appareils au décollage que j'ai aperçu quelques minutes avant, je me joins au groupe et straffe la cabine d'un appareil nippon prêt au décollage. Je m'éloigne de la base et finit par retrouver un corsair engagé, que je dégage avec l'aide des N°1 et 2 . Je retrouve mon groupe leader. Après un tour des bases ennemies nous prenons le cap retour..RIP

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 Sujet du message: Re: VMF214, le retour
MessagePosté: Ven 11 Avr 2014, 18:03 

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Localisation: Le Nôôôoord
Rapport du Captain TJJ:

Je mène le groupe pour la mission d'aujourd'hui en sweep "arrière" après un carpet bombing de Rabaul. La formation est globalement bonne, nous arrivons sur le "Channel" entre la baie de Rabaul et l'ile Duke of York au moment où les bombers vont demi-tour, assaisonnés par les Zeros... Nous grimpons fort pour nous placer au-dessus, et d'un retournement leur tombons dessus dans les 6: las, peu de réussite lors de cette passe mais le dogfight s'engage.
Rapidement le score démarre, mais plusieurs de nos pilotes se retrouvent aussi rapidement isolés. Plusieurs engagement voient tomber des Zeros, mais aussi des Corsair. Avec mon ailier je emporte mes 3eme et 4 eme victoires après 2 remportés au dessus de Bougainville avec la
VMF-221 à l'été dernier. Grace à nous les bombers survivants s'échappent. Nous sommes également aidés par des Hellcat et des Lightning qui empêchent les Japs de reprendre l'avantage. Nous reformons à 5, puis poursuivons la patrouille en essayant de remonter sur des Zeros au perchoir engageant les P-38. Nous arrivons quand le combat se termine, et terminons le vol par une tournée des terrains de Rabaul, sans trouver de cible assez importante pour risquer de descendre dans la Flak infenale du coin...
, Je confirme un Zero pour mon ailier qui a fait un travail exemplaire: nous ne nous sommes perdus à aucun moment, l'un guidant tantôt l'autre puis inversement.
La cohésion est à travailler, sans quoi bientot beaucoup d'épaves peupleront le fond de la baie de Rabaul, car les Japs ne se rendent pas!


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