Une mission pas comme les autres, ont à eu de la chance ce coup-ci.
Brief brouillon de ma part (je n'ai rien compris non plus à ce que j'ai dit si ca peut vous rassurer) en ce qui concerne les Beaufighters et le B-25 piloté par ce mercenaire de Fantec, faute de temps et de l'impatience des japs qui voulaient en découdre et avaient la ferme intention de nous envoyer faire un bisous à la planéte de manière expéditive et ce avant l'heure... sauf que notre heure n'avaient pas encore sonnée...
Résultat : quelques un de leurs pilotes se sont entretués frénétiquement, sans aucune raison valable dans les premières minutes de cette folle mission... no comment. Les requins on été forcés de déboucher une bouteille tombée à la mer pour accompagner ces tristes mangeurs de sushis tombés du ciel en plein sur leur terrain de chasse favoris de cette époque, le sillage des batiment de guerre... ce qui est sur, c'est que ca nous à bien arrangés pour la suite des événements qui resterons dans l'histoire...
Il fait chaud, trés chaud, la température approche les 128° farenheit avec un taux d'humidité si élevé que des poissons pourraient survivre hors de l'eau à l'intérieur de nos Beau qui sont alignés sur la piste depuis une bonne vingtaine de minutes sous un soleil de plomb, nous baignons littérallement dans notre sueur et trépignons d'impatience car la mission en vaut le détour, tôt ce matin nos avions de reconnaissance ont relevé la position de plusieurs navires dispersés en petits groupes de trois ou quatre navires, tous fillent à pleine machines vers différents endroits de nos côtes, l'un d'eux à particulièrement retenu leur attention, un cuirassé de la classe Shogu, et coup ci il est vraiment trés près... il sera notre cible principale aujourd'hui, les recos ont du rebrousser chemin car apparement il n'étaient pas seul dans le ciel ce qui confirme la presence d'un porte avion quelque part, essayer de le reperer sera l'objectif secondaire de notre mission...
L'heure et l'authorisation de décoller approche, les armuriers s'approchent pour armer nos torpilles, nous lancons un par un nos moteurs trés tardivement pour éviter la surchauffe au sol, les radiateurs en prennent plein la poire, "si ca ne tenait qu'à moi nous serions déja en pleine action..." la piste de décollage est composée de ces foutus plaques métalliques tordues qui réverbérent la lumière et nous force à tirer de sacré têtes, mon observateur arrière à hérité d'un surnom sur-mesure de ce fait : "Tronche!!!"
Nous procédons nerveusement aux dernières vérifications et cherchons un peu d'air en ouvrant les petits "hublots", "si seulement j'arrivais à chopper l'ingénieur qui est à l'origine de cette trouvaille je lui foutrais volontier mon poing dans la gueule pour le remercier", le vent est quasi nul...
Quand soudain, nos oreilles vibrent, ce sont les observateurs de la tour de contrôle qui hurlent à en perdre la voix, ils s'arrachent les cordes vocales et nous signalent une formation de bombers lourds japs évoluant à trés haute altitude qui se positionnent et adoptent une formation d'attaque standard, C'est pas po!!!^éah Bordel!!! pas de doute cette fois c'est pour nous... ils comprennent désormais que l'absence de réponses émmanant du poste d'observation du Nord, situé sur la côte n'est pas due à un problême technique... (nous apprendrons au retour de la mission qu'un sous-marin ennemi que nous avons croisés avait attaqué leur position au canon).
Le personnel de la base... essayant tant bien que mal de se trouver un abris de fortune est surpris par les premières bombes, les déflagrations se succèdent dans un fracas du diable qui couvre désormais les cris et les sirenes d'alarme, la plupart de nos hangars explosent sous nos yeux, nous distinguons des silhouettes deformées par la chaleur qui disparaissent dans les flammes, d'autres sont projetés en l'air ou à terre par les nombreuses ondes de choc qui arrivent sur nous comme une tempête de sable, elles ébranlent violement nos appareils, d'autres sont déjà annéantis ou en feu sur le parking ouest, cette vague brulante est sur nous et s'engouffre par ce foutu hublot et faisant instantannement monter la température à un niveau innaceptable pour une merguez, cette poussière nous brule le visage et tout le corps car elle s'engouffre dans nos tenues de combat, c'est la rage au ventre que nous poussont la manette couplée des gaz en gueulant des jurons à la radio, et ce sans authorisation, dans ce genre de cas on ne la demande pas...
To be continued